OZOIR LA FERRIERE

Ferme Péreire, avenue Erasme,  77330 Ozoir la Ferrière

3 - 18  avril 2010

Entrée libre

Renseignements: 01 64 43 55 15

ouvert du lundi au vendredi de 14 h à 18 h

samedi et dimanche de 15 h à 18 h

Jean - Jacques LAMENTHE sculpteur et Kazimierz DZYGA peintre

 

Photos du vernissage à Ozoir la Ferrière

le vendredi 2 avril 2010

 

 

 

Jean - Jacques LAMENTHE         Kazimierz DZYGA      Jean - François ONETO maire d'Ozoir la Ferrière

 

Jean - Jacques LAMENTHE  et   Antoinette JARRIGE  Adjointe au maire  déléguée à la culture

 

 

 

 

Kazimierz DZYGA  " au fil du temps "  huile sur toile

 

 

 

 

 

 

 

 

"Jean - Jacques LAMENTHE   " l'éclipse "

 

 

 

 

Kazimierz DZYGA  " apparition automnale "  pastel

 

 

Jean - Jacques LAMENTHE       

 

 

 

Jean - Jacques LAMENTHE  (de dos)     Kazimierz DZYGA   Jean - François ONETO maire d'Ozoir la Ferrière

 

 

Jean - François ONETO maire d'Ozoir la Ferrière

 

Kazimierz DZYGA  " visiteurs silencieux "  huile sur toile

 

 

 

Kazimierz DZYGA  " un soir en passant "  huile sur toile

 

 

Kazimierz DZYGA  " venant de nulle part "  huile sur toile

 

Kazimierz DZYGA  " le chemin de Saint - Jacques "  huile sur toile

 

Kazimierz DZYGA  " l'entre deux "  huile sur toile

 

Kazimierz DZYGA  " vallée de lumière "  huile sur toile

 

Kazimierz DZYGA  " capteur de lumières "  huile sur toile

 

Texte de présentation du catalogue de l'exposition

Kazimierz DZYGA

D’origine polonaise Kazimierz Dzyga est né en Allemagne  le 5 janvier 1945. Un an plus tard sa famille s’installe en France où il grandira. Jeune homme il exerce différentes professions dont celle de barman  dans un grand hôtel parisien de la rive gauche.  L’endroit est fréquenté par de nombreux écrivains et artistes peintres au summum de leur notoriété, Victor Vasarely, René Magritte et Georges Mathieu.

Kazimierz Dzyga s’imprègne de ce milieu ce qui l’incite à se tourner vers la peinture ; un univers qu’il explore en  autodidacte. Touchés par sa sensibilité les artistes qu’il fréquente   lui prodiguent conseils et encouragements. C’est en 1968 qu’il expose pour la première fois, à Paris, à la  galerie-librairie de Gérard Mourgue. Le  succès est immédiat, Dzyga a du talent, c’est un véritable artiste,  il a attiré l’attention des critiques ce qui constitue un fait exceptionnel pour une première manifestation.

Depuis il ne cesse de peindre, plus de quarante années d’une intense production, si prolifique à ses débuts que  le bois et le carton remplaceront souvent les toiles faisant défaut pour que l’artiste  puisse exprimer rapidement ses rêves car Dzyga est le peintre du réalisme fantastico-onirique.

Au milieu des années soixante-dix sa palette s’assagit et Dzyga s’éloigne du surréalisme. Il délaisse l’allégorie et simplifie son travail qui gagne en lisibilité. Sa peinture est fantastique, son œuvre devient propice à la méditation. Deux de ces toiles vont dans ce sens  A  l’écoute du silence et Le guetteur, toutes deux de 1981, cette même année où Dzyga  triomphe au Grand Palais lors de la septième édition de la FIAC.

C’est ce moment que l’artiste choisit pour se retirer en Dordogne où il vit toujours. Loin de la ville, de son incessant mouvement et des ses bruissements divers il peut sereinement se consacrer à son art qui ne cesse d’évoluer.  Dzyga s’oriente de plus en plus vers les paysages fantastiques dans lesquels l’eau, sous toutes ses formes, est omniprésente. L’être humain s’efface de son travail et la vie, autre que végétale, n’est plus évoquée que par quelques traces et lumières artificielles. Parvenu à la maîtrise de son talent, il règne avec une précision réaliste sur l’imaginaire.

De sa peinture il émane une force attractive sur laquelle Dzyga ne s’exprime pas, laissant le soin à ses exégètes d’interpréter son œuvre, d’y porter ou non un jugement. Inévitablement certains tenteront des rapprochements, lui attribuant appartenance à telle ou telle école, ce que l’artiste n’aime pas, considérant qu’il est plus adapté de parler d’influences et reconnaissant que celle de Bosch est à certains moment apparue dans son œuvre. Mais l’artiste ne peint pas le cauchemar. C’est un bâtisseur de rêves qui sollicite notre attention par des échappées secrètes vers d’autres univers.

L’œuvre de Kazimierz Dzyga c’est plus de quarante ans de carrière et une bonne centaine d’expositions dans les grandes villes françaises mais aussi étrangères.

Salon d’automne de Bruxelles en 1973, Festival international de peinture à Osaka en 1982  où il reçoit la médaille d’or. Artiste invité à Art expo 85 à Tokyo en 1985. Matignon Gallery à Chicago en 2005.  Invité d’honneur de la Biennale internationale des arts de l’imaginaire d’Arlon en 2007. Exposition Dali dans l’eau à Wolnzac en 2008, sans oublier Paris bien évidemment où Kazimierz Dzyga expose tous les deux ans.

 « Depuis plus de quarante ans, chaque jour j’entraîne ma main à obéir à mon esprit afin de mettre sur la toile mes visions et mes rêves… »  Kazimierz Dzyga.

 

 

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