Revue de textes   Text review

                                                                                    

René - de SOLIER (extrait de la présentation de l’exposition)

… Le fantastique cherche de nouvelles voies ; peut-être les trouve-t-on dans l’accord de la sincérité et d’un sens du drame : DZYGA est presque un homme de théâtre – il a besoin de la scène, celle qu’il construit  pour animer et mettre en œuvre sa vision…

 

 

 Gérard - MOURGUE

Il est de plus en plus rare qu’un peintre, à sa première exposition attire l’attention de critiques aussi difficiles que ceux qui ont donné leur caution à ces toiles, à la limite du fantastique. Leur auteur semble obéir à une sorte d’auto-examen,  à la limite du narcissisme, qui a pour conséquence immédiate de faire se répéter non seulement les traits d’un visage, mais encore les accessoires d’une liturgie de la cruauté, avec lesquels on se déchire, comme l’arête tranchante de tel rocher, la pointe de tel mât, le sang de telle blessure…

G.M.  -  COMBAT   février 1968

 

 

 Henry - HERAUT

Kazimierz DZYGA recèle, en son arrière fond, tout un monde inquiet et inquiétant. En ses peintures surréalistes, d’une telle habileté d’exécution, les personnages s’adressent à nous, nous assaillent, nous hallucinent, surtout avec leurs regards angoissés, pétrifiés, prunelles fixes, à la fois très curieusement des « surveillants » et des « surveillés », l’œil de Dieu « qui regardait Caïn » et l’œil terrifié de Caïn lui-même…

  Le Journal de l’Amateur d’Art   février 1968

 

 

l'exposition en photos, bientôt (soon)

 

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